Parfois, on cherche un réseau qui nous ressemble… et on ne le trouve jamais.
Trop de superficiel, pas assez d’authenticité. Trop de blabla, pas assez de déclics. Alors on décide de créer ce qu’on aurait aimé trouver : un lieu d’élan, de confiance, et d’entraide sincère.
Vous rêvez de créer ce genre de club d’entrepreneurs, mais ne savez pas par où commencer ? Vous êtes pile au bon endroit.📍
Nous savons que vous avancez souvent seul, la tête pleine d’idées, sans personne pour les challenger, les affiner ou simplement vous dire : « Tu tiens un truc. »
Ce sentiment, beaucoup parmi celles et ceux qui font des affaires le partagent : évoluer de manière isolée, sans être compris par son entourage, en étant au four et au moulin, du matin au soir.
Et pourtant… il suffit parfois d’un cercle de quelques personnes alignées pour changer la donne : des rencontres régulières, des échanges sincères, et des opportunités qui naissent presque naturellement, sur la base des affinités.
Créer un club d’entrepreneurs, ce n’est pas juste organiser des apéros et remplir un carnet d’adresses. C’est fédérer une team de soutien, se nourrir de l’énergie des autres, et activer un levier puissant pour la croissance de votre activité — et celle de vos membres.
Dans ce guide complet, vous allez découvrir comment poser les bases solides d’un réseau efficace, humain et durable, loin des structures figées et du réseautage impersonnel.
Prêt à créer du lien, du sens… et du business ? Let’s go !
Dans cet article :
Comment créer un club d’entrepreneurs : Les étapes essentielles
Créer un club d’entrepreneurs, c’est comme poser les fondations d’une maison : plus elles sont solides, plus le collectif pourra s’élever. Voici les trois piliers à ne surtout pas négliger pour construire un réseau qui dure… et qui donne envie de s’y investir.
Définir une vision claire (avant même de recruter)
Créer un club d’entrepreneurs, c’est comme poser les fondations d’une maison : plus elles sont solides, plus le collectif pourra s’élever. Voici les trois piliers à ne surtout pas négliger pour construire un réseau qui dure… et qui donne envie de s’y investir.
Pour qui ? Pourquoi ? Comment et avec quelle ambiance ?
Avant d’envoyer le moindre message sur LinkedIn ou Instagram, voire même d’imaginer le premier événement, prenez un moment pour clarifier votre vision.
Un bon club, ce n’est pas juste un groupe d’auto entrepreneurs qui se retrouvent autour d’un café : c’est un cercle qui partage des valeurs, une dynamique, un cap. Mais surtout, une stratégie.
Posez-vous les bonnes questions :
- À qui voulez-vous vous adresser ? TPE locales ? Solopreneurs du digital ? Artisans de votre région ?
- Pourquoi ce club existe-t-il ? Partage d’expérience, entraide, développement commercial ?
- Quels sont les objectifs ?
- Quelle est la stratégie la plus adaptée à ces objectifs ?
- Quelle ambiance souhaitez-vous instaurer ? Sérieuse mais conviviale ? Ultra business ? Détendue et bienveillante ?
Une vision claire attire les bonnes personnes. Et filtre naturellement celles qui ne vibrent pas avec l’énergie du projet.
Il vous faut être cohérent dans l’énergie du club. Ce dernier doit exprimer une singularité qui le démarquera des autres et donnera envie à vos prospects de rejoindre le vôtre plutôt qu’un autre.
En réalité, c’est là que tout commence : quand on cesse de vouloir un club parfait, et de simplement bâtir celui qui vous ressemble.
Choisir le bon cadre juridique
Pas besoin de monter une structure juridique complexe dès le départ, mais il est essentiel de définir un cadre : pour la gouvernance, les responsabilités, et la clarté entre membres.
Voici les principales options :
- Association loi 1901 : idéale si vous souhaitez un cadre clair, gérer des cotisations, avoir un bureau, ou organiser des événements réguliers. Elle donne une image sérieuse et facilite certaines démarches (subventions, partenariats locaux…).
- Collectif informel : parfait pour commencer en souplesse, tester l’intérêt du format, et ajuster au fur et à mesure. Peu ou pas d’obligations, mais aussi moins de structure.
- Structure privée (SAS/SARL) : envisageable si votre objectif est de monétiser l’accès au réseau ou de créer une offre commerciale autour du club (ex : masterclass, contenus payants, etc.).
🎯 Le bon choix dépend de votre vision : testez petit, structurez ensuite. L’essentiel est que chacun sache comment ça fonctionne… et pourquoi.
Un club d’affaires peut prendre diverses formes, allant des associations professionnelles aux chambres de commerce en passant par des groupes informels centrés sur des secteurs spécifiques.
🔍 Quelle forme juridique pour votre club d’entrepreneurs ?
1. Souhaitez-vous recevoir des cotisations ou des financements publics ?
2. Votre objectif principal est-il de générer des revenus commerciaux ?
3. Voulez-vous structurer votre club avec des statuts officiels ?
4. Avez-vous besoin de contractualiser avec des partenaires privés ?
Structurer son fonctionnement
Cotisation ou gratuit ? Fréquence des rencontres ? Règles du jeu ?
Un club qui fonctionne, c’est un club où tout est clair : pas de flou sur le “qui fait quoi”, le “combien” ni le “quand”.
Voici les grands axes à cadrer dès le départ :
- Cotisation ou gratuité ? Même symbolique, une cotisation crée de l’engagement. Gratuit, c’est attractif… mais attention à l’effet “passager”.
- Rythme des rencontres : 1 fois par mois ? Tous les 15 jours ? En physique ou hybride ? Fixez un tempo et tenez-le : c’est la régularité qui crée l’attachement.
- Format type : tour de table, intervention d’un membre, atelier, session co-développement… Pensez efficacité et convivialité.
- Charte de fonctionnement : droits, devoirs, posture attendue… Cela évite les malentendus, les bavardages stériles, ou les “touristes du réseau”.
⚙️ Un bon fonctionnement, c’est une structure souple mais ferme : assez cadrée pour être fluide, assez ouverte pour évoluer avec le groupe.
Recruter les bons profils
Où trouver vos premiers membres ? Comment les séduire sans “vendre” ?
Un club n’a de valeur que par ceux qui le composent.
Et au départ, tout repose sur une poignée de profils motivés, alignés, prêts à s’impliquer.
Pas besoin d’être nombreux — mais il faut être justes.
Commencez par votre cercle de confiance : anciens collègues, partenaires, clients, connaissances inspirantes croisées en événement. Contactez-les en direct, avec sincérité. Pas avec un pitch commercial, mais avec une invitation personnelle à construire quelque chose d’unique.
Vous pouvez aussi :
- Publier un post LinkedIn sincère qui explique votre démarche et votre vision
- Participer à des événements locaux (CCI, meetups, salons) pour repérer des profils intéressants
- Parler de votre projet dans des groupes WhatsApp ou Slack pros
🎯 L’objectif n’est pas de “remplir une salle”.
C’est de réunir des gens qui partagent vos valeurs et qui ont envie de s’engager sur la durée.
💡 Petit conseil : pour les premières rencontres, misez sur un format chaleureux et simple. Pas besoin de keynote ni de buffet de prestige. Un apéro bienveillant autour d’une vraie discussion suffit à créer de la magie.
Et n’oubliez pas : le bouche-à-oreille démarre ici. Offrez une expérience sincère dès le début, et vos premiers membres deviendront vos meilleurs ambassadeurs.
Promouvoir le club pour le faire décoller
Faites rayonner votre vision et attirez les bons profils
Une fois votre club structuré et vos premières rencontres réussies, il est temps de passer à la vitesse supérieure : faire connaître votre initiative pour attirer de nouveaux membres… sans tomber dans le forcing commercial.
🎯 Votre objectif ? Toucher des entrepreneurs qui partagent vos valeurs, votre énergie, votre vision. Et pour cela, il vous faut une présence claire, crédible et attirante.
Voici quelques leviers puissants à activer :
- – Créez un site web simple et engageant
Présentez la vision du club, les types de membres recherchés, les événements à venir, et surtout : les bénéfices concrets à rejoindre l’aventure. Pensez “humain” avant tout.
👉 Bonus SEO : un blog ou une actualité locale peut booster votre visibilité sur Google.
- – Soyez actifs sur les réseaux sociaux
LinkedIn est incontournable, mais n’hésitez pas à explorer Instagram ou Facebook si votre cible y est présente. Partagez les coulisses, les témoignages, les temps forts… vendez l’énergie, pas l’événement. - – Parlez-en lors d’événements pros
Afterworks, meetups, forums d’entreprises, salons locaux… Chaque rencontre est une occasion de semer une graine. Un pitch clair et sincère vaut mieux qu’une plaquette léchée. - – Misez sur le bouche-à-oreille de vos membres actuels
Encouragez-les à inviter un entrepreneur qu’ils estiment. Rien n’est plus puissant qu’un membre convaincu qui parle du club avec enthousiasme. - – Créez des contenus de valeur
Vidéos courtes, témoignages, articles… En montrant ce que votre club apporte réellement (et humainement), vous créez un effet miroir qui attire naturellement ceux qui se reconnaissent dans votre approche.
💡 L’important n’est pas d’attirer “beaucoup” de monde. C’est d’attirer les bonnes personnes, celles qui viendront pour contribuer autant que pour recevoir.
Pourquoi créer un club d’entrepreneurs ? (Et pourquoi maintenant ?)
Parce que l’entrepreneuriat n’est plus une aventure solitaire.
Dans un monde où les connexions humaines redeviennent précieuses, où le local reprend du sens, et où l’entraide devient une force stratégique, créer un club d’entrepreneurs, c’est créer du lien — et des leviers.
Voici tous les bénéfices concrets que peut vous apporter un club bien pensé, bien animé, et profondément humain.
Networking et développement de son réseau
C’est souvent la première raison qui motive les entrepreneurs à rejoindre un club : rencontrer les bonnes personnes au bon moment.
Un club d’affaires permet de créer des connexions solides et ciblées : partenaires commerciaux, prestataires, clients potentiels, voire futurs associés.
Mais plus qu’un simple échange de cartes de visite, c’est l’opportunité de bâtir une vraie confiance. Celle qui ouvre les portes qu’aucun cold email n’ouvrira jamais.
👉 Par exemple, Sophie, graphiste indépendante, a trouvé deux nouveaux clients lors de son troisième afterwork, simplement parce qu’un autre membre a parlé d’elle avec enthousiasme. David, lui, a trouvé son associé sur un coup de cœur humain autour d’un café.
Partage d’expériences et de compétences
Chaque membre d’un club a vécu ses hauts, ses bas, ses pivots, ses erreurs.
Et dans ces histoires se cachent des leçons précieuses.
Un bon club, c’est un espace où l’on peut oser dire « voilà ce que j’aurais fait autrement », et où les autres en tirent quelque chose pour leur propre parcours.
Un laboratoire de savoirs vivants, où chacun apprend sans se sentir jugé.
Lors d’une session de partage dans un séminaire Solydari, Karim, artisan du bâtiment, a raconté comment un mauvais recrutement lui avait coûté 6 mois de retard. Résultat : plusieurs membres ont ajusté leur propre stratégie RH dans la foulée. Et Julie, coach en entreprise, nous a révélé une méthode simple pour prioriser ses tâches qui a fait l’effet d’un déclic chez trois membres débordés.
Opportunités de mentorat et de coaching
Vous débutez et cherchez des repères ? Ou vous avez de l’expérience et envie de transmettre ?
Les clubs d’entrepreneurs offrent souvent un terrain fertile pour des relations de mentorat puissantes et naturelles.
Pas besoin d’un programme formel : parfois, une simple discussion avec un membre aguerri peut réorienter toute une stratégie… ou redonner foi en son projet.
C’est ce qu’a vécu Lucas, jeune e-commerçant, lorsqu’un membre plus expérimenté de Solydari l’a aidé à revoir complètement son tunnel de vente. En quelques semaines, son chiffre d’affaires a doublé. Et de son côté, Claire, dirigeante d’une PME locale, a pris sous son aile deux jeunes fondatrices qu’elle accompagne avec bienveillance depuis plusieurs mois.
Facilitation d’investissements et de financements
Certains clubs vont plus loin : ils connectent les idées aux capitaux.
Business angels, fonds d’investissement locaux, plateformes de prêts pro… Un club bien positionné peut ouvrir des portes habituellement fermées, simplement parce que la confiance existe déjà entre les interlocuteurs.
Et quand la recommandation vient d’un pair, elle a souvent plus de poids qu’un pitch parfait.
C’est ainsi que Thomas, fondateur d’un projet dans la foodtech, a décroché un rendez-vous avec un investisseur privé grâce à l’introduction d’un membre de notre réseau Solydari. Et Marie, consultante en RSE, a obtenu un prêt à taux préférentiel après avoir rencontré un banquier partenaire lors d’un événement organisé par le club.
Influence et lobbying
Créer un club, c’est aussi créer une voix collective.
Face aux institutions locales, aux collectivités (mairie, département, région), aux décideurs économiques, un club peut devenir un relais d’influence puissant. Il peut porter les préoccupations de terrain, défendre les intérêts de ses membres ou encore faire émerger des projets concrets à l’échelle d’un territoire.
Un entrepreneur seul est souvent inaudible. Ensemble, vous devenez visibles, écoutés, considérés.
C’est ce qu’a prouvé le Club des Entrepreneurs du Béarn, en obtenant de la mairie un local gratuit pour organiser ses rencontres hebdomadaires. Ou encore le Réseau Sud-Ouest Pro, qui a co-construit avec la CCI un cycle de formations sur mesure pour les TPE locales.
Accès à des ressources et opportunités uniques
Être membre d’un club, c’est souvent accéder à ce que les autres ne voient pas passer :
- – Événements exclusifs
- – Formations réservées aux membres
- – Accords négociés avec des partenaires
- – Offres ou appels à projets confidentiels
Le réseau devient un filtre d’opportunités qui permet d’aller plus vite, plus loin, plus sereinement.
Dans un club de la région toulousaine, les membres ont été invités à pitcher leur activité devant un grand groupe industriel dans le cadre d’un appel à projet interne — une opportunité réservée au réseau.
Et chez Solydari, plusieurs membres ont profité d’une formation gratuite en communication digitale, négociée collectivement auprès d’un organisme régional.
Renforcement des compétences entrepreneuriales
Un club d’entrepreneurs n’est pas une salle de classe, mais on y apprend souvent bien plus que dans un livre.
Leadership, prise de parole, gestion de conflits, négociation… Le simple fait d’échanger avec d’autres profils, de confronter ses idées, de poser des questions, fait grandir.
Et dans les discussions informelles naissent parfois les plus grandes remises en question — ou les plus belles évolutions.
Lors d’une session de co-développement, Élodie, la fondatrice d’une marque de cosmétiques éthiques, a pris conscience qu’elle sous-facturait ses prestations. Soutenue par le Solydari, elle a revu son positionnement… et triplé son chiffre d’affaires en 6 mois.
Paul, lui, a vaincu sa peur de parler en public après avoir animé une session devant les membres. Depuis, il a lancé son propre podcast.
Comment animer, structurer et faire vivre votre club d’entrepreneurs sur le long terme ?
Créer un club, c’est un excellent début. Mais le faire durer, l’animer, et le faire évoluer… c’est là que se joue la vraie réussite. Pour que l’élan du départ ne s’essouffle pas, vous devez construire un cadre souple mais clair, proposer des formats dynamiques, et nourrir en continu l’engagement de vos membres.
Renforcement des compétences entrepreneuriales
Où trouver vos premiers membres ? Comment les séduire sans “vendre” ?
Un club d’entrepreneurs qui dure ne repose pas sur la chance, ni uniquement sur l’enthousiasme du début. Il repose sur une structure claire, des rôles bien définis, et une énergie collective qui circule.
Voici les fondations à poser dès le départ :
- 🎯 Une stratégie claire : Pourquoi ce club existe-t-il ? Pour favoriser le business local ? L’entraide entre indépendants ? Le développement de compétences ?
Vos objectifs doivent être simples à exprimer… et faciles à partager. - 🧭 Une cible bien définie : À qui s’adresse votre club ? Plutôt aux jeunes entrepreneurs ? Aux dirigeants de PME ? Aux femmes entrepreneures d’un territoire ?
Mieux vous cernez votre cible, plus le bouche-à-oreille sera efficace. - 🛠️ Un fonctionnement lisible : À quelle fréquence se réunit-on ? Qui anime les sessions ? Est-ce qu’il y a une cotisation ? Comment s’inscrire ou quitter le club ?
Écrivez une charte de fonctionnement simple : elle pose les bases, cadre les attentes, et évite les incompréhensions. - 👥 Un organigramme léger mais structurant : Ce n’est pas une entreprise, mais une bonne répartition des rôles fait toute la différence.
Voici un schéma que tu peux adapter selon la taille du groupe :
Rôle | Mission principale |
---|---|
Coordinateur / Président | Pilote la vision, veille à la cohérence globale, anime les temps forts |
Responsable animation | Organise les événements, formats de rencontre, coordination du calendrier |
Responsable communication | Gère la diffusion des infos, les réseaux sociaux, le lien avec les nouveaux membres |
Responsable partenariats | Développe des liens avec d’autres réseaux, institutions ou sponsors |
Référents par pôles / thématiques | Pour les plus gros clubs : relais thématiques ou géographiques |
💡 Vous pouvez faire tourner les rôles tous les 6 ou 12 mois pour éviter l’essoufflement et créer un sentiment d’appropriation collective.
🎯 Une gouvernance claire, c’est ce qui transforme un simple groupe en collectif solide, où chacun sait où il va, pourquoi il est là… et comment contribuer.
Animer le club avec des formats variés et stimulants
Réunions à thème, masterminds, afterworks, ateliers, etc.
Pour maintenir l’énergie du groupe, rien de mieux que de diversifier les rencontres :
- – Afterworks conviviaux pour briser la glace
- – Masterminds pour creuser une problématique en petit comité
- – Sessions thématiques autour d’un sujet-clé : visibilité, recrutement, organisation, etc.
- – Ateliers collaboratifs, tables rondes, ou même week-ends immersifs
💡 L’important, c’est le rythme et la cohérence avec les attentes de vos membres. Un format engageant, c’est un format utile… et un peu fun.
Créer des opportunités concrètes : mises en relation, mentorat, mini-formations
Ce que vos membres attendent (même sans toujours l’exprimer)
Au-delà des rencontres, un bon club offre des leviers de croissance tangibles :
- – Des mises en relation ciblées (prestataire / client / partenaire)
- – Des parrainages naturels entre membres expérimentés et nouveaux venus
- – Des formations courtes animées par les membres eux-mêmes ou des intervenants extérieurs
🔁 Plus vous créez de la valeur concrète, plus vos membres deviennent vos meilleurs ambassadeurs. Et plus votre club devient incontournable.
Utiliser les bons outils pour fluidifier l’organisation (en ligne et hors ligne)
Slack, Notion, WhatsApp, Google Drive, Meetup, outil d’emailing, CRM communautaire… Vous n’avez pas besoin de tout. Mais vous avez besoin de bons outils bien choisis, selon la taille de votre club et votre style d’animation.
- – Pour organiser les événements : Google Calendar, Eventbrite, Meetup
- – Pour animer les échanges quotidiens : Slack, WhatsApp, Discord
- – Pour centraliser les infos : Notion, Trello, Drive partagé
- – Pour gérer les adhésions et la com’ : Mailchimp, HelloAsso, outil de CRM communautaire (ex : Circle, Hivebrite)
💡 Un club qui communique bien… fidélise bien. Et un club qui se structure bien, c’est un club qui peut grandir sans s’effondrer.
À qui s’adresse un club d’entrepreneurs en 2025 ?
Spoiler alert : à VOUS, mais aussi à bien plus de monde que vous ne le pensez.
Un club d’entrepreneurs n’est pas réservé aux grands patrons ni aux start-up en hypercroissance. Il peut (et doit) rassembler une diversité de profils, qui partagent une même envie : ne plus avancer seuls.
Et c’est justement dans cette diversité que réside toute la richesse d’un club solide et inspirant.
TPE, indépendants, professions libérales, PME locales
Ce que recherchent vos futurs membres (par profil)
- Les indépendants (freelances, consultants, artisans) viennent chercher du lien humain, des opportunités de collaboration, des recommandations, et souvent… un peu de motivation au quotidien.
Ils veulent rompre l’isolement, sortir de leur bulle, et échanger avec d’autres qui “parlent le même langage”. - Les TPE / PME locales, elles, cherchent plutôt à étendre leur réseau pro dans une logique de développement commercial : trouver de nouveaux partenaires, recruter plus efficacement, monter en visibilité sur leur territoire.
Les professions libérales (avocats, experts-comptables, coachs, thérapeutes) ont besoin d’un espace où la confidentialité et la confiance priment. Un club leur offre un environnement pour échanger entre pairs sans enjeu de concurrence, et souvent des recommandations très qualifiées.
🎯 Chaque profil vient avec ses besoins spécifiques, mais tous repartent avec la même chose : du lien, de l’élan, de la clarté.
Focus sur les clubs spécifiques : femmes, jeunes, secteurs, territoires
Créer une dynamique ciblée et inclusive
De nombreux clubs se développent aujourd’hui autour de thématiques, de profils ou de zones précises. Pourquoi ? Parce que parfois, on avance plus vite et plus fort quand on partage un vécu ou un contexte similaire.
- 👩💼 Clubs pour femmes entrepreneures : espaces bienveillants, inspirants et décomplexés pour se soutenir, se motiver, se recommander, et parler business sans pression. Ces clubs répondent à un besoin de sororité entrepreneuriale encore trop peu visible dans les réseaux mixtes.
- 🌱 Clubs pour jeunes entrepreneurs : créés par et pour ceux qui débutent, avec une énergie brute, des projets qui bouillonnent et des besoins spécifiques en structuration, financement et crédibilité. Un club peut alors jouer le rôle d’accélérateur et de tremplin.
- 🏭 Clubs par secteur (tech, artisanat, bien-être, commerce, etc.) : parfaits pour échanger sur des problématiques très ciblées, co-construire des offres croisées ou mutualiser des ressources.
- 🇫🇷 Clubs locaux (par ville, département, communauté de communes) : ancrés dans un territoire, ils favorisent les circuits courts, le bouche-à-oreille, les synergies avec les acteurs publics et économiques locaux. Ils sont souvent les plus puissants sur le plan relationnel… et les plus pérennes.
💡 En créant ou en rejoignant un club “à votre image”, vous ne vous contentez pas de réseauter : vous bâtissez une communauté qui vous comprend et qui vous por
Créez votre propre club au sein de Solydari !
Vous avez une vision. Une envie de rassembler. De créer un écosystème local à votre image.
Ne cherchez plus un réseau qui vous ressemble. Créez-le. Et faites-le naître au sein de Solydari.
Chez Solydari, vous n’êtes pas seul(e).
Nous avons conçu une plateforme pensée pour ceux qui veulent entreprendre autrement : humainement, localement, durablement.
Créer votre club chez Solydari, c’est :
- 🤝 Bénéficier d’un accompagnement humain : on vous aide à structurer, lancer et animer votre club avec des conseils concrets, des outils éprouvés et une vraie présence à vos côtés.
- 🌱 Rejoindre une communauté qui partage vos valeurs : solidarité, ambition, proximité. Chez nous, l’entraide n’est pas un slogan : c’est un moteur.
- 🚀 Gagner en visibilité dès le départ : votre club sera mis en avant sur notre annuaire, promu auprès de notre réseau, et visible par tous les entrepreneurs du Sud-Ouest en quête d’un collectif qui leur parle.
- 🔗 Accéder à des synergies naturelles : recommandations, collaborations croisées, événements communs, relais institutionnels… Créer un club chez Solydari, c’est s’ancrer dans un tissu entrepreneurial vivant.
Mais surtout, c’est l’opportunité de faire bouger les lignes sur votre territoire, de fédérer des talents autour d’un projet porteur de sens, et de devenir acteur de la dynamique locale.
🎯 Vous avez l’élan. Nous avons le terrain fertile.
Solydari vous ouvre ses portes. Nous vous disons déjà “Bienvenue”.
Foire aux questions
Combien ça coûte de créer un club ?
Bonne nouvelle : créer un club d’entrepreneurs ne coûte presque rien au départ.
Si vous optez pour un format informel ou associatif, les frais sont minimes : quelques dizaines d’euros pour une déclaration en préfecture, un hébergement web, ou une assurance éventuelle.
En revanche, si vous souhaitez aller plus loin (local de réunion, intervenants, outils, site web, goodies…), prévoyez un budget d’animation ou une cotisation par membre.
🪙 En moyenne, les clubs sérieux fonctionnent avec une cotisation de 50 à 300 € par an.
Faut-il être chef d’entreprise pour rejoindre un club ?
Pas forcément.
Chaque club fixe ses propres critères. Certains sont ouverts à tous les profils entrepreneuriaux : freelances, porteurs de projet, professions libérales, dirigeants de TPE/PME… D’autres réservent l’accès aux chefs d’entreprise établis.
Chez Solydari, par exemple, nous valorisons la diversité des parcours : l’important, c’est la motivation, la volonté de contribuer… et de progresser avec les autres.
Quelle est la différence entre un club business et un réseau pro ?
Un club business met généralement l’accent sur le développement commercial et les recommandations entre membres. On vient y chercher des opportunités, des clients, du chiffre.
Un réseau pro, lui, peut avoir une vocation plus large : montée en compétence, échanges de bonnes pratiques, entraide sectorielle ou territoriale.
C’est moins orienté business pur, mais tout aussi précieux.
💡 En réalité, les deux peuvent coexister dans une même structure — tout dépend de la vision que vous insufflez à votre club.
Peut-on créer un club dans une petite ville ?
Absolument. Et c’est même souvent là que ça fonctionne le mieux.
Dans les villes moyennes ou petites communes, les entrepreneurs cherchent du lien, de la visibilité, et un écosystème local de confiance.
Créer un club dans une petite ville, c’est devenir un acteur de la vie économique locale, et souvent profiter d’un bouche-à-oreille très puissant.
🧩 L’effet “réseau de proximité” y est décuplé.
Peut-on créer un club 100 % digital ?
Oui, c’est tout à fait possible — et même pertinent si vos membres sont répartis sur un large territoire ou si vous ciblez un secteur très spécifique.
👉 Des outils comme Zoom, Slack, Notion, Google Meet, ou Discord permettent d’animer un club à distance de façon fluide et dynamique.
Certaines structures hybrides combinent même des rencontres physiques ponctuelles avec une animation digitale continue.
📱 L’essentiel reste le même : du lien, de la valeur, et une vraie envie de créer ensemble.
Club d’entrepreneurs, club d’affaires, réseau pro : quelles différences ?
Il existe trois grandes familles de structures, avec chacune une philosophie bien à elle :
- Le club d’affaires (Business-first)
🎯 Objectif : recommandations, chiffre d’affaires, retours sur investissement.
➕ Rythme structuré, obligations de participation, efficacité.
➖ Moins de place pour la spontanéité ou l’entraide “non rentable”. - Le réseau pro (Humain d’abord)
🤝 Objectif : entraide, transmission, inspiration.
➕ Ambiance bienveillante, partages sincères, diversité des profils.
➖ Business indirect ou lent à se structurer. - Le club collaboratif (Mix & co-construction)
🧠 Objectif : co-développement, projets communs, innovation collective.
➕ Agilité, intelligence collective, hybridation des talents.
➖ Demande un fort engagement des membres et une gouvernance claire.
💡 À chaque structure son public… et à chaque public ses attentes.
L’important, c’est d’être aligné avec votre propre vision.